Chevauchement et interaction de mouvements (§1.10)
La dilatation du «temps» n'est qu'interaction de mouvements (§1.10.1)
Einstein était un génie! Il a découvert et expliqué mathématiquement que le temps n'est pas universel; le temps donné par une pendule ne s'écoule pas au même rythme partout, il dépend du mouvement de la pendule. Amener la souris ici:
rappel des conventions.
Ce site internet concerne deux interprétations différentes des mathématiques de la science physique:
L’interprétation de tout le monde et celle appelée gravimotion.
Quand il s’agit de l’interprétation admise par tout le monde le texte est en bleu.
Quand il s’agit de la gravimotion le texte est en noir.
Le mot «temps» est entre guillemets lorsqu’il est imprimé en noir car en gravimotion le «temps» n’existe pas.
Le ralentissement du temps en fonction du mouvement s’appelle dilatation du temps; cette dilatation a été vérifiée expérimentalement avec une horloge atomique embarquée à bord d’un avion auxquel on a fait faire le tour du monde.

Et voici une interprétation sans précédent, bien qu'évidente, de la dilatation du «temps».
Le mouvement d'ensemble d'une l'horloge modifie son mouvement horloger.
La dilatation du temps se réduit donc au
chevauchement de 2 mouvements
Il y a aussi une dilatation du temps fonction de la gravité; en haut d'un building une horloge est plus rapide qu'en bas.
Et on m'a dit que la dilatation du temps n'avait rien à voir avec le mouvement.

Mais comme indiqué ultérieurement la gravitation n'est autre que mouvement en gravimotion; il s’ensuit que la dilatation du «temps» fonction de la gravitation n'est qu'une forme déguisée de la dilatation du «temps».
et a leur interaction mutuelle.

À en juger par les réactions engendrées par cette idée, je ne serais pas étonné si vous veniez à la mépriser d'emblée!
Remplacer le «temps» donné par une horloge par son mouvement interne est, pour le moins qu'on puisse dire, inattendu.
Comment le temps, tout à la fois conviction, omniprésent et mystérieux, pourrait’il être délogé par une idée enfantine, limitée à un objet, et de surcroit mécanique?
Aucun physicien n'a mentionné l'idée, et vous ne la trouverez pas dans les manuels de physique non plus.
Pire, chaque fois que je l'ai exprimée dans des forums et publications scientifiques, on m'a purement et simplement ri au nez.
En dépit de cette réprobation quasi unanime, j’ai poursuivis mes investigations comme suit.
En premier lieu voici un résumé de l'expérience physique:
1.  Le temps donné par une horloge gardée au sol est utilisé comme référence temps.
2.  Le temps donné par une horloge en mouvement dans l’avion, diffère de cette référence temps.
Je commence par remplacer les mots temps donné par une horloge par mouvement horloger.
Ci-après, je montre qu’en vue de l'expérience de l’horloge atomique en vol, il est logique d'en déduire que le mouvement d’ensemble d'une horloge que j'appelle mouvement sous-jacent ait un effet négatif sur son mouvement horloger interne.
  1. L'expérience a été faite avec un avion volant vers l’est, dans le sens de rotation de la terre; les résultats étaient conformes aux calculs d'Einstein; plus l'avion allait vite plus le temps s'en trouvais ralentis.
    Et à la vitesse de la lumière, si l'avion pouvait l'atteindre, la théorie d'Einstein prédit que le temps s'arrêterait.
    J'explique ceci comme suit: lorsque l'avion atteint la vitesse de la lumière, en supposant que son mouvement horloger soit toujours en action, il s'ajouterait à celui de l’avion et irait donc plus vite que la lumière, ce qui est bannis par la théorie.
    L'horloge se voit contrainte de caller mécaniquement.
    Encore une fois, vous ne trouverez pas cela dans les manuels de physique. En science, le temps (et non pas le mouvement horloger) s'arrête quand on atteint la vitesse de la lumière.
    Notre interprétation mentale, en accord avec la théorie de la relativité, est que le temps ralentit quand la vitesse augmente.
    À mon avis, plus les mouvements sous-jacents d’une horloge sont rapides plus son mouvement horloger est lent.
    Notez que le mouvement-horloger d’une pendule peut s'arrêter pour bien autre chose, nous n’y prêtons aucune importance; ce qui montre combien notre façon de raisonner scientifique est indulgente lorsque cela nous convient.
  2. L'expérience comprenait aussi un avion volant vers l'ouest à l’encontre de la rotation de la terre. Dans ce cas le mouvement sous-jacent de l'horloge en vol était plus lent que celui de l'horloge restée à terre, et son mouvement horloger plus rapide.
    Notre interprétation traditionnelle, en accord avec la relativité, est que plus on voyage vite, plus le temps se ralentit.
    À mon avis, plus les mouvements sous-jacents d’une horloge sont lents plus son mouvement horloger est rapide.
Le fait est qu’Einstein, a découvert et calculé précisément l'effet qu'un mouvement a sur un autre mouvement qui lui est encastré, conduisant droit à l'idée que lorsque 2 mouvements se chevauchent ils interagissent réciproquement.

«Le temps» n’est que mouvement (§1.10.2)
Parce qu’Einstein a démontré scientifiquement que le «temps» donné par une horloge est altéré par le mouvement d’ensemble de cette horloge, le temps n'est tout au plus qu’un sous-produit du mouvement!
Le mouvement prend la place du «temps» en gravimotion; et le mouvement a une durée coïncidant à la durée que prend le mouvement interne d’une pendule pour se produire.
«Temps» et température unifiés dans le mouvement (§1.10.3)
(Section non traduite de l’anglais)
«Temps», température et vie unifiés dans le mouvement (§1.10.4)
(Section non traduite de l’anglais)
Le mouvement n'est pas relatif, l'observation du mouvement l'est (§1.10.5)
Comme expliqué ci-après, les mouvements sous-jacents introduits en gravimotion constituent l'agencement physique qui manque à la théorie de la relativité.
Voici l'illustration préférée d'Einstein; un badaud, sur le remblai de la voie de chemin de fer, observe et voit un train passer (en mouvement); un voyageur dans le train regarde par la fenêtre et voit le badaud passer (en mouvement).
Einstein conclut: le mouvement est relatif; il ajoute même: la relativité du mouvement est évidente.

En dépit de son renom je ne suis pas d'accord avec Einstein sur ce point particulier; mais rassurez-vous je ne dénie aucunement sa théorie mathématique.
Je conclus différemment que c'est l'observation du mouvement qui dépend de l'observateur. Parce qu’il n'y qu'un seul mouvement en question, celui du train, le voyageur voit un aspect différent du même mouvement.
L’exemple d’Einstein m'embrouille; il implique que le mouvement du badaud vu de la fenêtre du train est tout aussi réel que le mouvement du train. Et parce que les deux sont traites à égalité, le mouvement du train devrait être aussi élusif que celui du badaud.
L'explication d'Einstein ne me satisfait pas; mais comme ses équations restent vraies, il doit donc y avoir un phénomène physique, non dévoilé encore, autre que la simple observation humaine, expliquant le ralentissement physique du mouvement horloger dans le cas de la dilatation du temps.
Ce qui suit est l’explication physique que je donne à la (soit disant) relativité du mouvement.

Et voici comment les mathématiques de la relativité sont accomplies en réalité
Mon interprétation de la dilatation du «temps» (ci-dessus) illustre le mieux la justification physique que j'ajoute à la théorie de la relativité.
En premier lieu le «temps» donné par une horloge dépend de son mouvement horloger; preuve en est, le bon fonctionnement d'une pendule dépend de l'usure de ses rouages internes mais aussi de sa source de mouvement, ressort ou pile électrique en début ou en fin de course.
Je symbolise cette dépendance comme suit:

MI = Mhorloger     (le mouvement interne MI d’une horloge dépend de son mouvement horloger Mhorloger)

Puis comme indiqué ci-dessus (a. et b.) le mouvement interne d’une horloge (le «temps» donné par une horloge) est altéré d’une quantité mesurable par ses mouvements sous-jacents

MI = Mhorloger + AMsous-jacents (une altération de mouvement, AMsous-jacents mesurable, modifie le MI d’une horloge)

Maintenant considérons les deux horloges de l'expérience.
Le cas de l’horloge de référence au sol d’abord; dans le théorie de la relativité, du point de vue de l'observateur, elle ne varie pas; c'est une référence absolue, car les «temps» mesurés sur l'horloge en vol, peuvent lui être ajoutés mais aussi soustraits.
En réalité cette horloge est aussi en mouvements de par ses
mouvements sous-jacents
Extrait de la section §1.9 :
L'état repos et ses mouvements sous-jacents
...
Ce que l'on appelle état de repos sur terre est en fait en mouvement! Un mouvement appelé mouvements sous-jacents en gravimotion.
...
Pour un objet au repos sur terre, ces mouvements sous-jacents sont successivement:
6. La rotation journalière de la terre sur elle-même.
5. La rotation annuelle de la Terre autour du Soleil.
4. Le mouvement de notre système solaire dans notre galaxie, la voie lactée.
3. La rotation sur elle-même de notre galaxie.
2. Le mouvement d'ensemble de notre galaxie dans le présent (en termes conventionnel : dans l'univers).
1. Enfin tout en bas, est la constitution même du présent, appelée le mo(uve)ment présent en gravimotion.
que j’appelle mouvements sous-jacents de la Terre; il s'ensuit que le mouvement horloger de référence (le «temps» donné par l’horloge de référence) est altéré par les mouvements sous-jacents de la Terre:

(1)  MIref     =    Mrefhorloger   +   AMrefterre      (une altération de mouvement AMrefterre   modifie le MIref     de référence)

Et bien que je me répète, cette distinction ne semble pas exister dans la théorie, ou l'on parle du temps donné par l'horloge de référence sans plus.
Par contre le mouvement interne de l’horloge en vol est enclavé dans celui de l’avion, lui-même enclavé dans les mouvements sous-jacents de la terre; le mouvement de l’avion est enclavé dans les mouvements sous-jacents de la terre , parce que l’avion a décollé du sol; son mouvement inclut donc la vitesse (cachée) du sol.
En résumé, le mouvement interne de l’horloge en vol (le «temps» donné par l’horloge en vol) reflète maintenant les altérations de tous ses mouvements sous-jacents, à savoir::

(2)  MIhorloge en vol                    =    Mhorloge en volhorloger                     +    AMhorloge en volavion                     +    AMhorloge en volterre

L’expérience consiste à soustraire le temps donné par l’horloge en vol du temps donné par l’horloge de référence.
Dans le monde de la gravimotion, cela revient à soustraire le mouvement interne de l’horloge de référence (équation 1) du mouvement interne de l’horloge en vol (équation 2).
Mais comme vous pouvez le constater les composants AMhorloger et AMterre, qui représentent l’intégrité du mouvement interne de la référence, apparaissent aussi dans leur intégrité dans le mouvement interne de l’horloge en vol.
Il s’ensuit que la comparaison de l’horloge en vol par rapport à l’horloge de référence, un point essentiel de la théorie de la relativité, est aussi en réalité la comparaison de l’horloge en vol par rapport à ses mouvements sous-jacents propres.
L’altération du mouvement horloger en vol est entièrement et exclusivement due à ses mouvements sous-jacents propres.
Bien que la théorie d’Einstein repose sur cette horloge de référence, l’altération du mouvement horloger en vol n'a rien a voir physiquement avec cette référence.
Et c’est pour cela, qu’en ce qui me concerne, la théorie de la relativité n'est pas explicite; dans la théorie le mouvement devient élusif; alors qu'elle est solide comme un roc, la théorie prête au doute!

Pour distinguer indubitablement l'interprétation faite en gravimotion de la théorie d'Einstein, supposez premièrement qu'il n'y a personne pour observer ce qui se passe et deuxièmement qu'il n'y a pas d'horloge de référence au sol; l'horloge dans l’avion n'en est pas moins retardée par le mouvement de l’avion lorsque celui-ci est ajouté aux mouvements sous-jacents du sol.

Enfin venons-en au cas de mouvements de relativité directe, comme celui du badaud, qui observe le train dans lequel aucune horloge supplémentaire n’est impliquée.
Il suffit de remplacer le mouvement de l’avion par celui du train; tous deux ont les mêmes mouvements sous-jacents, celui du sol.
Il s’ensuit que le mouvement du train est uniquement influencé par les mouvements sous-jacents du sol, et n'est en aucune façon dépendant du regard du badaud.
Le fait que les mouvements sous-jacents du sol soient partagés par le badaud n’a rien à voir avec l’influence physique qu’ils ont sur le mouvement du train.
Voici en quelques mots une découverte qui m’étonne moi-même:
Il est certain que les rayons lumineux, utilisés pour observer le mouvement, et qui sont aussi à la base de la théorie de la relativité, ne sont pas la cause physique du phénomène que l’on appelle en science «relativité du mouvement».

L'observation ne rend pas compte des faits. Au-delà de l’observation humaine, essentielle à la théorie, observation qui a la propriété d'être relative, est un phénomène fondamental qui implique la modification physique du mouvement; le phénomène ne peut pas être réduit à l’observation réciproque voyageur/ badaud; le phénomène n'est pas intuitif; les mathématiques mêmes d'Einstein ne révèlent pas son entité physique, à savoir:

Tout mouvement est altéré par ses mouvements sous-jacents.
Les mouvements sous-jacents, introduits en gravimotion, font respecter physiquement ce que l'on appelle en science physique la relativité du mouvement.

L'observation du mouvement au moyen de rayons lumineux, en dépit de sa carence, reflète néanmoins ce phénomène physique qu'est interaction de mouvements; preuves en sont les nombreuses vérifications empiriques de la théorie d’Einstein.
Commentaires
  1. Je parle d'une découverte car personne, que je sache, n’a décortiqué le phénomène comme décris ci dessus. Pour sûr, vous ne trouverez pas ça dans les traités de physique.
    Je me dois de noter que je n’aurai jamais découvert que le mouvement horloger est altéré par le mouvement de l’avion sans la découverte préalable d’Einstein de la dilatation du «temps».
    Autrement dit je n’aurais jamais découvert que la gravimotion (qui comme expliqué dans les pages suivantes n'est qu'interaction de mouvements) rejoindrais la science, si ce n’est pour la théorie d’Einstein.
    Toutes mes idées, en ce qui concerne la relativité, reposent bien évidement sur la théorie d’Einstein.
  2. Il s’ensuit la chose très intéressante suivante :
    Laissant de côté les stipulations nécessaires à la théorie telle que «la vitesse de la lumière, dans le vide absolu, est constante», la théorie d’Einstein repose en réalité sur le fait que l’observation du mouvement se fait par l’intermédiaire de la lumière.
    L’interprétation faite en gravimotion n’a plus besoin de cet intermédiaire qu’est la lumière, et repose uniquement sur les mouvements sous-jacents.
    On est alors en droit de se demander si le mouvement (tel que conçu en gravimotion) ne pourrait pas excéder la vitesse de la lumière!
    Et cela remet sur le tapis le débat EPR.
  3. D'une manière ou d’une autre Einstein à découvert et décrit mathématiquement un phénomène pour lequel il n'avait pas la moindre idée en ce qui concerne sa réalisation physique. Il savait bien que quelque chose de physique se déroulait car il en parle dans les chapitres 12 et 13 de son livre « Relativity. The Special and the General Theory ».
    Et quand on y pense cela ne peut que renforcer l'admiration qu'on a déjà envers le génie intellectuel d'Einstein !
    Vous pouvez suivre le chemin de la pensée d'Einstein; il nous a laissé une description détaillée de son raisonnement chapitres 3 à 11 de son livre.
    (On peut lire le livre d'Einstein en ligne gratuitement, mais en Anglais; si quelqu’un connaissait l’adresse internet de son livre en Français, je lui serais reconnaissant de me la communiquer; je l’ajouterais ici à l’intention des lecteurs de cette page.)